Soirée mamans - Janvier 2006

Publié le par Véro Kieny

 
SOIREE MAMANS
13 janvier 2006 – 20h30
« Les trucs »
 
Présentes : Myriam Lapandry – Anne Nascimento – Fanny Loudenot – Véronique Kieny – Nathalie Lahaye – Michèle Lagrange – Une nouvelle maman – Corinne Guichard (éducatrice service petite enfance Blanzy)
 
 
Ce compte-rendu n’est pas exhaustif et ne se veut pas une « solution miracle » et ne présente pas de caractère « miraculeux » pour l’éducation de nos petits. Il propose quelques pistes de réflexion glanées au cours de la rencontre.
 
 
Thèmes abordés
 
Arrivée de la petite sœur – Jalousie du grand frère (et inversement…)
·          Garder son calme devant les réactions de l’enfant jaloux n’est pas forcément toujours une bonne chose. Il faut lui dire pourquoi on n’est pas content
·          Le laisser dire ou faire les choses ne veut pas dire les entendre ou les subir : on peut lui dire qu’il y le droit de s’exprimer mais que l’on ne veut pas l’entendre = il va le dire à ses poupées…
·          Le valoriser dans les actions où il peut aider.
·         L’enfant fait douter ses parents de l’action qu’ils font = pourquoi appuie-t-il dessus ? Qu’est ce qui nous gène personnellement dans son acte envers nous et ses frères et sœurs ?
 
Trouver du temps pour jouer
·          Quand on a des enfants d’âges différents, plutôt privilégier, si l’on veut jouer avec les deux en même temps, des activités manuelles ou artistiques sans règle.
·          Imposer des temps de jeu n’est pas une solution si l’on n’y prend soi-même pas de plaisir.
·          Jeu = aussi lecture, activité de cuisine, partage d’une tâche…
 
L’enfant tient tête/conflit du non
·          Il faut continuer à tenir devant l’enfant
·          Dans le cas mère/fils ou père/fille : donner un cadre très structuré est plus dure qu’avec un enfant du même sexe.
·          Garder toujours le même cadre pour l’enfant
·          Conserver sa place à l’enfant : lui accorder du temps de jeu pour décompresser
·          Lui expliquer les conséquences du non = une punition .Quelle qu’elle soit : s’y tenir
·          Le rassurer sur nos sentiments pour lui
 
Se séparer de sa fille
·          L’enfant doit sentir que l’on a nous-même envie de se séparer. Il a envie de rester petit pour qu’on l’aime encore.
·          La mère doit autoriser l’enfant à partir.
 
La prochaine rencontre, fixée au vendredi 10 mars, permettra aux mamans de dire ce qui a marché, ce sur quoi elles ont cheminé… et là où ça accroche encore !
 

Publié dans Manifestations

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